Arequipa, je vous en avais parlé dans un article précédent, parlant de la
Alors, lors d’une deuxième visite, nous avons pris soin d’en prendre capables d’illustrer mes dires. Pour les portes, c’est sûr, pour la circulation, une simple photo ne montre guère qu’une image figée, peu parlante… Elle ne dit rien, de la cacophonie incessante, des coups de klaxon, des policiers aux coups de sifflets permanents et … impuissants, de l’odeur, de la pollution qui envahit la ville, elle ne dit pas
qu’être piéton ici, c’est revenir longtemps en arrière chez nous, quand il faut
traverser à l’instinct, deviner la voiture qui hésite, il y en a peu, celle qui
va vous laisser passer, ne pas se fier aux feux tricolores, surtout pas, même s’ils
sont relativement respectés, le flot de voitures qui encombre le carrefour et
qui finit de passer ne laisse aucun moment sûr aux piétons. L’avantage est que
la circulation est lente, ce qui, finalement, minimise le risque !
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