Au revoir Oaxaca, bonjour Chalon,
nous voici à nouveau chez nous. Cette fois, nous n’avons rien oublié sur les
tapis de contrôle de notre long voyage de retour. De ce voyage, nous
retiendrons bien sûr son temps fort, ce pour quoi il a eu lieu, la fête d’anniversaire
de mariage de notre fille avec Victor. Une bien belle fête, toute dans la
tradition mexicaine, avec costumes traditionnels colorés, musique, danses, lumières
et … alcool ! Merci à Vicky, Ingrid
et Alexa, les mères, sœur et nièce de Victor de nous avoir permis de partager
ce moment fort !
Nous avons aussi redécouvert avec plaisir Oaxaca, une bien jolie ville, et les prestigieux sites qui l’entourent, Monte Alban et Mitla. Le côté « vieilles pierres » nous manquait un peu !
Car du Costa Rica, ce que nous
retiendrons surtout, à part la pluie, c’est LE vert, le vert partout, profond
ou lumineux, clairs ou foncés, des dégradés de vert à l’infini. La flore et la
faune tropicale qui se laissent photographier, inlassablement. On ne se lasse
pas d’admirer les feuilles colorées, les fleurs étonnantes, les arbres
majestueux, les facéties des capucins ou la lente gymnastique des paresseux. Le vert et la gentillesse des gens, les « ticos »,
qui sourient, toujours, qui disent bonjour quand ils vous croisent, ils sont
simples et avenants. C’est décidément un pays bien agréable et très facile.
Une grande partie de cet espace
vert est protégé, accessible en partie par des parcs et réserves nationaux ou
privés, aménagés pour le plaisir des touristes et pour le « fun »,
car ce pays est entièrement tourné vers le tourisme, dominé par le modèle
américain. Il propose des normes sanitaires, d’hygiène et de confort, de
sécurité aussi, du niveau européen et ... des prix qui le sont également. Pour
nous, le sentiment est ambigü…
Nous avions déjà vu des forêts tropicales, moins faciles, moins touristiques , et le côté « parc d’attractions » nous gêne un peu, mais ne boudons pas notre plaisir, les plages de Cahuita ou du parc Manuel Antonio sont magnifiques et se baigner sous les cocotiers dans une eau presque trop chaude reste un rêve paradisiaque…
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