Surtout, au fil de la piste sur
laquelle les véhicules se suivent en cahotant, on découvre un spectacle qui se
renouvelle sans arrêt. Des concrétions aux formes étranges, une féerie de
couleurs changeantes, des cheminées de fées, des perles de pierre, et toujours
ces murailles rouges qui nous encerclent, s’éloignent ou se rapprochent au gré
du circuit.
Le paysage est étrange, Ischigualasto signifie
Vallée de la Lune, en je ne sais quelle langue oubliée et il porte bien son
nom. On se sent ailleurs, loin, très loin, et peut-être même pas maintenant…
Ce sentiment d’irréalité est à
peine masqué par le guide qui, volubile, donne des explications sans fin à un
public distrait qui n’écoute plus que par les yeux…Les mots étant impuissants à décrire ce spectacle, je vais pour une fois, laisser davantage de place aux photos…
3 commentaires:
Ces belles concrétions nous rappellent le désert blanc, on compare les photos à votre retour, bisous
Mis à part les couleurs et le lama, on se croirait dans l'ouest américain!
Si je comprends bien, il faut se préparer à patauger!
A très bientôt maintenant, bises,
J&J
Magnifiques photos et magnifiques commentaires !!!
Qui me laisse rêveuse.... et me donne l'impression d'y être un petit, petit, petit peu. .
Vous devez apprécier ces moments magiques et toute cette palette de couleur (nous avions pris un avant
goût au sud Lipez).
Vous lire et vous suivre sont un vrai régal ....
Profitez bien
On vous embrasse
N.L Ch
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