Nous avons une très mauvaise connexion internet et n'arrivons pas à insérer les photos soigneusement préparées à votre intention... Notre magnifique gîte souffre de quelques défauts! Nous rééssaierons plus tard... Ou demain... Ou ailleurs!
Nous sommes à la
Guadeloupe ! En terre française, une fois n’est pas coutume, mais une
France lointaine, exilée sous les tropiques, une France différente et
exaltante.
Nous avions réservé trois points
de chute, deux gites et un hôtel à Marie-Galante. Cette première semaine, nous visitons
Grande-Terre depuis notre très chouette gite de Morne à l’Eau. Il est grand,
confortable, possède un beau jardin tropical et une piscine : Il incite
davantage au farniente sur place qu’à la découverte des environs. Mais nous
savons résister à la tentation et sommes pourvus d’une insatiable curiosité. A
bord de notre Clio de location, nous parcourons les routes encombrées et
tortueuses, qui nous mènent de village en village, de plage en plage, de
pointe en crique, à travers les champs de cannes à sucre.
En général, la baignade ne nous
tente guère. Mais sous ces latitudes, et avec de telles plages, l’appel de
l’océan est irrésistible. Même nous, nous n’avons pas résisté au charme des
eaux du lagon de la porte d’Enfer et à un moment de bronzette! Mais
ensuite, pour ne pas nous laisser devenir lézards, une magnifique promenade littorale, nous a permis d’admirer, ne riez
pas, le Trou de Madame Coco… Un trou où se brise la puissance de l’océan en
pleurs ruisselants, suivi, une heure de marche plus loin de celui du Souffleur,
bien moins impressionnant. Mais, la pointe du Souffleur, à une demi- heure encore de
là, offre un magnifique spectacle. Les eaux s’engouffrent dans des cavités
profondes et jaillissent en geysers
disséminés dans le cap. Les roches se noient d’embruns qui retombent en flaques
chatoyantes. Le retour s'effectue par le même chemin, toujours un peu décevant après l'émerveillement de la découverte.
la pointe de la Grande Vigie
|
Nous espérions effectuer une
excursion en bateau, sur les récifs coralliens et dans la mangrove, mais faute
d’avoir réservé je crois bien que nous allons devoir nous en passer, à moins, à
moins d’une défection, d’une place qui se libère, d’un hasard heureux, qui
sait ? Sinon, nous nous contenterons d’un petit circuit à pied… Tant
pis !
Nos premiers pas dans l’île nous ont beaucoup plu. Nous sommes toujours heureux de quitter la grisaille et les frimas chalonnais, pour savourer le climat tropical. Le ciel n’est pas immuablement bleu mais laisse suffisamment place au soleil pour que notre peau citadine crie grâce et espère un nuage salvateur. Il nous faut la protéger afin que son ton blafard de « métro » ne vire pas au rouge des « ouassous », l’écrevisse locale, maintenant importée du Vietnam ou du Bengladesh…
Nos premiers pas dans l’île nous ont beaucoup plu. Nous sommes toujours heureux de quitter la grisaille et les frimas chalonnais, pour savourer le climat tropical. Le ciel n’est pas immuablement bleu mais laisse suffisamment place au soleil pour que notre peau citadine crie grâce et espère un nuage salvateur. Il nous faut la protéger afin que son ton blafard de « métro » ne vire pas au rouge des « ouassous », l’écrevisse locale, maintenant importée du Vietnam ou du Bengladesh…
Restaurant à la Porte d'Enfer |
le Lagon de la Porte d'Enfer |
La porte d'Enfer |
en route pour la Baie du souffleur |
La pointe du souffleur |
2 commentaires:
COUCOU
MERCI DE NOUS FAIRE PARTAGER CE MAGNIFIQUE PERIPLE EN TERRE FRANCAISE SI LONTAINE
NOUS AVONS AUSSI EU DROIT A UNE JOLIE ACCALMIE MAIS LA SEMAINE A VENIR SEMBLE TERNIR CES PREMICES PRINTANIERES . NOUS REVISERONS NOS CHANTS CE NE SERA PAS SI MAL !!!!!
BISOUS A TOUS LES 2 A BIENTÖT DE VOS NOUVELLES
Que de bleu! Que de bleu!
Ces paysages nous font rêver en bleu, ça tombe bien j'adore le bleu.
A bientôt ...
ChLB
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